Barbara Jolaine, Promotion 2005

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D’origine franco-portugaise, Barbara effectue sa scolarité à l’École Jeannine Manuel puis intègre l’université Paris Dauphine d’où elle ressort diplômée d’un Master 2 en Affaires Internationales et Développement. En 2012, elle rejoint Castalie, une start-up qui oeuvre à la production d’une alternative aux eaux en bouteille, et devient chargée de projet et assistante opérationnelle. Elle décide en 2015 de se lancer dans l’aventure Appie cidre avec quatre de ses camarades Dauphinois. Objectif: révolutionner le cidre en créant de nouveaux codes de consommation.

Pour vous, l’apéro idéal c’est...

Au soleil évidemment…entourée d’amis, bercée par de la musique, avec vue si possible… et une boisson Appie (cidre ou limonade) bien fraîche à la main !

Parlez nous de la philosophie du produit Appie.

Avant tout, c’est une histoire d’amitié avec 5 amis rencontrés sur les bancs de la fac.

Qui devient une histoire de cidre, avec pour ambition de le remettre au goût du jour.

A la rencontre d’une histoire de limonade, qui lui ressemble beaucoup.

Pour devenir une histoire de boissons, qui ont l’élégance de ne pas se prendre au sérieux et qui ont été imaginées pour mieux consommer.

·      Chez Appie, on veut pouvoir les boire dans les lieux qu’on fréquente

·      Chez Appie, on fait des boissons fraîches comme avant mais pour maintenant

·      Chez Appie, on prend la tradition pour ce qu’elle a de bon, et pour le reste : Rafraichissons

 Appie, ce sont des boissons simples et généreuses fabriquées en France avec exigence.

Comment vivez-vous le fait d’être jeune entrepreneuse en France ?

Honnêtement, très bien !

J’ai eu la chance de pouvoir me lancer dans ce projet grâce aux différentes solutions d’accompagnements existantes pour les entrepreneurs en France. Il en existe beaucoup et souvent, le plus compliqué c’est surtout de s’y retrouver.

Aussi, je pense qu’Appie s’est lancée au bon moment et au sein d’un environnement propice où les entrepreneurs, les starts-ups et les petites structures sont très valorisées et mises en avant. Cela facilite donc beaucoup d’aspects de l’entrepreneuriat en France : de la prise de risque, au recrutement ou même pour valoriser son produit et son savoir-faire.

Votre temps à l’Ecole Jeannine Manuel vous a-t-il préparé pour faire face aux difficultés du métier ?

Évidemment. L’EBJM m’a surtout permis de développer ma curiosité, mon ouverture d’esprit et ma capacité d’adaptation, qualités qui sont essentielles dans mon métier au quotidien.

Avez-vous des conseils pour ceux qui voudraient lancer leur propre start-up?

Se laisser porter par son projet et y croire même si le quotidien ne passe pas toujours comme ce que l’on avait imaginé. Que ce soit positif ou négatif, cette expérience sera toujours valorisée.

Aussi, je conseillerai de bien s’entourer et ne pas hésiter à demander des conseils autour de soi pour confronter ses idées à celles des autres, même s’il faut être convaincu soi-même de là où on veut aller.